Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus Chapitre 4 : Sybille, Dentiste.
Des ethnologues féminines au pays des hommes nus
Chapitre 4 : Sybille, dentiste.
Un patient joueur
Et la dentiste qui décide de jouer aussi
Pour lépisode le plus chaud de la collection
La journée touchait à sa fin. Pas très agréable cette journée. Des extractions que je déteste parce que dune part ça fait mal aux patients, et dautre part parce que cest beaucoup dénergie
Ces putains de racines qui saccrochaient aux gencives ! Et puis des patients assez peu soignés
Et des bouches pas nettes, des haleines fétides
Il y a des journées comme ça. Machinalement je fais entrer mon dernier client. Machinalement je laccueille
Et je lentends me répondre
- Complètement ?
Interloquée
- Pardon ?
- Je vous demande si je dois me déshabiller complètement ? »
Bis repetita
- Pardon ?
- Vous me dites que je dois me déshabiller
Je vous demande alors si je dois me déshabiller complètement
Je revisite les dernières secondes dans ma tête
Que sest-il passé que jaie loupé ? Mais non, je ne vois pas
Il vient à mon aide en mexpliquant une nouvelle fois
Je suis rentré dans votre cabinet, et vous mavez demandé de me déshabiller
Je vous pose alors la question
Dois-je me déshabiller complètement
Ça y est ! Les cases se remettent en place
Jai effectivement la mauvaise habitude de recevoir mes patients par une formule passe-partout que je répète à chaque entrée
- Bonjour, vous pouvez vous déshabiller et ensuite vous installer dans le fauteuil
Tout va bien depuis la dernière fois ?
Et ce monsieur, au demeurant charmant, de demander sil doit me prendre au mot
Je suis désarçonnée, je ris donc bêtement, et lâche un ridicule :
- Mais non ! Ce ne sera pas nécessaire !
La séance se passe sans problèmes. Il mindique une douleur sur le côté gauche
Une radio est nécessaire
Ouille ! Racine pourrie
Va falloir extraire ! Je repère également deux petites caries, et un plomb qui a bien vécu et quil faudra penser à remplacer.
Cest la dernière visite. Je reprends la voiture pour renter à lappart
Jai une lasagne au frigo
pas besoin de minquiéter pour mon repas du soir
Les embouteillages
Le moment idéal pour permettre à mon esprit de divaguer
Et bien entendu, il revient à ce mec et à sa question surprenante
Jaurais dû le prendre au mot
Lidée me fait rire toute seule
Oops
Gênée
les autres automobilistes vont me prendre pour une folle
Bah ! non ! Ils vont croire que jécoute les grosses têtes !
Je ne me laisse plus distraire par mes compagnons dembouteillage, et me laisse conduire par la voiture qui de toute façon connaît le chemin
Et mon esprit de poursuivre sa rêverie
Si je lavais pris au mot
Comment aurait-il réagit ? Il se serait foutu à poil ? Non, pas possible ! Je laurais coincé alors ! Et sil sétait foutu à poil
comment jaurais réagi moi ?...
Et la voiture se gare devant mon garage, me ramenant à la réalité. Lasagne donc, puis le dernier Tarantino que Martine ma prêté. Et enfin dodo
Sans rêve
Ce nest que le matin du rendez-vous suivant avec lhomme que la séance précédente me revient
Pas le temps dy penser beaucoup
Juste le temps de me dire que je vais lui proposer de se déshabiller comme je le fais dhabitude
Et sil me repose la même question
Ce sera oui
Cette fois
Mais il nosera pas
Comment va-t-il réussir à se défiler
La journée se passe et je suis accaparée par mes patients
Cest quand jouvre la porte de la salle dattente pour le dernier client que je laperçois
Ça me rend brusquement fébrile
Mais je tiens
- Vous pouvez-vous déshabiller et vous installer dans le fauteuil
Je suis à vous dans deux minutes
Et
- Complètement ?
Avec un sourire qui me fait penser quil me fait une nouvelle bonne blague
Je le regarde, hésite une seconde puis
- Oui
Complètement
Le gars ôte alors son manteau, puis att son sweet-shirt quil retire
Son T-shirt suit le même chemin
Je massieds à mon bureau
Je ne sais si cest pour encaisser son attitude, apprécier le spectacle ou le narguer par un regard non équivoque
Il se penche maintenant
délie ses lacets, retire ses baskets
puis ses chaussettes.
- Non, mais ça va pas la tête ! Vous allez vous rhabiller ou jappelle les flics !
Non, ça va pas, je lai laissé se foutre à poil
Jai participé à son jeu
Ce serait dégueulasse
je devrais peut-être rire alors, me moquer de lui ? De moi ? De nous ? Ou le féliciter pour son cran ?
Eh non
comme une automate, je vais près de lui et je lui demande douvrir la bouche ! Gourde que je suis ! Un mec est à poil sur mon fauteuil de dentiste, et moi, je lui demande de me montrer ses dents comme si de rien nétait ! Et voilà, cest parti comme ça
Je ne vois pas comment je pourrais revenir en arrière... comment joserais revenir en arrière
Sa bouche est ouverte, je me concentre, essaie de me rappeler ce que je fais là
Et dans un effort surhumain ( ! ), je me rappelle que cest cette foutue racine pourrie quil faut arriver à enlever
chouette
cest le genre de truc qui mobilise toute mon énergie
Me faudra bien ça pour arriver à me concentrer.
Je prépare ma piqûre
Et lui ne moufte pas, tranquille
À poil
Faut que je dise ou que je fasse quelque chose quand même ! Mais que dalle
pas didées !
Et jenfonce laiguille dans sa bouche
sans lui faire mal
Puis je retourne à mon bureau, me plonger dans mes papiers quelques secondes, le temps que le produit fasse son effet.
Je reviens vers lui
Monsieur présente maintenant une bien belle érection
- Wouaw, je ne savais pas que ça avait des effets secondaires ce produit.
Et je vais rechercher lemballage dans la poubelle, pour vérifier la notice
- Non, ils ne disent rien là-dessus ! Vous vous sentez bien ? Ça à lair en tous cas !
Yesssssss ! Jai trouvé cette occasion de reprendre pied dans cette histoire
Et je ne vais plus la lâcher cette occasion
Et je ne vais plus le lâcher, lui !
- Ça va ? Ça dort ? Je reprends professionnellement.
Et je me penche sur sa bouche pour reprendre le travail
Pendant que 80cm plus bas, sa queue palpite à un rythme régulier
Voilà le moment de procéder à lextraction
Mais il ne faut pas non plus loublier, lui et son érection
- Je vais vous larracher cette dent
Mais avec ce truc là
ça va pas être possible
Ah oui !
Et jatt quelques serviettes qui habituellement servent à mes patients pour séponger la bouche et je les étale consciencieusement sur la bête pour quelle se cache à ma vue
Les serviettes tressautent à leur tour au même rythme
Je suis à nouveau dentiste
la dent se casse rapidement... Évidemment la racine pourrie fait son uvre
Reste à retirer la racine elle-même
qui se casse en morceaux
ça devient plus facile. Surtout ne pas oublier un petit morceau
Je me concentre sur sa bouche et lhomme aussi
Se faire ainsi triturer dans la bouche, ça vous change un homme ! Du coin de lil, jobserve que sa virilité triomphante sest fait la malle
Voilà
Plus de dent ! Il se rince la bouche ensanglantée att une des serviettes posée sur son zob et se tamponne les lèvres et le menton
Il att lensemble des serviettes, et jette le tout dans la poubelle à côté du siège
La bébête me fait un clin dil.
- On dirait que le produit cesse de faire son effet
Heureusement que jen ai fini avec votre dent
Je termine le nettoyage de la gencive, applique deux tampons pour aider au début de la cicatrisation
- Voilà
Fini !
Et je le laisse sur son siège.
Il se lève, att son pantalon
Non pour lenfiler
Mais pour sortir son portefeuille ! Je lui fais son attestation, il paie, nous prenons le rendez-vous suivant
Et lui est toujours tout nu
- Dhabitude après ces formalités administratives, je serre la main de mes patients et je les guide vers la porte de sortie
Comment je fais avec vous ?
- Heu
Je vais peut-être me rhabiller dabord ?
- Ça me semble une bonne idée en effet
Il ne fait pas très chaud dehors !
Et lhomme de réenfiler dans lordre T-shirt, sweat-shirt, chaussettes, puis enfin slip, pantalon, godasses et manteau
Pendant que je le regarde faire ne manquant pas un seul de ses gestes !
Puis, naturellement, on se serre la main et on se dit :
- À dans quinze jours pour le rendez-vous suivant
Je maffale dans le fauteuil de mon bureau
Ouf ! Un vrai délire ce truc
Mais je men suis pas trop mal tirée finalement ! Mais quest-ce quil veut ce type ? Un obsédé, ça cest sûr
Mais un obsédé plutôt sympathique
pas vraiment dérangeant pour quelquun comme moi qui sait y faire ! Bin oui, je la mérite ma médaille
Cest évidemment quinze jours plus tard que se passe la suite de lhistoire
la phrase rituelle « déshabillez-vous ».
- Houlà
va falloir calmer ça ! Une petite piqûre ?
Lhomme nu sourit en silence et va sinstaller dans le fauteuil.
Je ne perds pas le nord
je vais donc préparer ma seringue, puis :
- On y va ?
Et lhomme nu douvrir la bouche
et moi de lui attr le zob et dapprocher ma seringue !
Là, cest moi qui marque un point. Et un beau ! Il referme la bouche, ne sait que répondre, et observe avec une pointe dinquiétude, cest le moins que lon puisse dire, sa queue dressée emprisonnée dans ma main et la seringue qui sen approche
Son air assez ahuri me fait éclater de rire
jécarte la seringue, amène son érection vers ses cuisses, puis la lâche, la laissant rebondir sur le ventre
Jy pose ensuite la main pour la flatter quelques secondes
- Oh ! le petit kiki qui avait peur quon lui fasse une petite piqûre
Il naime pas les piqûres le petit kiki ! Ah mais si on vient chez le dentiste, même si on est un petit kiki, on sait bien quon risque davoir une piqûre
parce que les dentistes, ils aiment faire des piqûres
Et aux petits kikis encore plus
parce quils nont pas lhabitude de les voir se promener dans leurs cabinets de dentistes, les petits kikis
Alors quand un petit kiki se promène dans un cabinet de dentiste
Il faut quil sache quil doit sattendre à tout !
- Et son propriétaire aussi
ajoutai-je, en le regardant dans les yeux et en serrant dune main ferme le petit kiki.
Le petit kiki qui était pourtant de belle taille
Mais mon expérience - non pas mon expérience de professionnelle de la dentisterie mais mon expérience de femme mont bien fait comprendre quun homme nétait pas du tout le même si on parlait de son sexe avec des mots tels que « petit zizi », « petite quéquette », « petit kiki » ou si on employait dautres expressions et par exemple, « ta putain de belle queue », « ton sacré gourdin », « ta bite denfer », ta grosse biroute »
Et avec cet homme au demeurant sympathique, qui pourtant avait une queue bien agréable, mais qui avait tenté à mon sens de simposer à moi, il me paraissait nécessaire de le remettre à sa juste place ! Cest quand même chez moi ici, cest mon cabinet. Ce nest quand même pas un homme, fut-il beau et avec une sacrée paire de couilles et un zob solide, qui va faire la loi chez moi
Je suis la shériffe de mon quartier !
Mais revenons à nos moutons. Le monsieur, à part au centre de son corps, semble calme et paraît également accepter que je maîtrise la situation ! On passe donc à ma pratique professionnelle, et à sa dent cariée. Je travaille comme une vrai pro, pas du tout dérangée par ce zob qui va vibrer sur son ventre pendant toute lopération. Je termine en my intéressant une petite seconde, dune petite chiquenaude pour annoncer que jai terminé et que monsieur peut se rincer la bouche
Je retourne vers mon bureau, mais jai à peine le temps de me retourner, que lhomme nu magrippe le bras
il me plaque le dos contre le mur et sapplique à écarter mon beau tablier blanc et à relever ma jupe
Quest-ce que je fais moi ? Je gueule ? Je me débats ? Je me défends ? Et bien non, je me laisse faire ! Je tortille même du cul pour laider à faire glisser ma culotte ! Et vlan, il menfonce le zob dans la chatte
Wouaw, ça rentre facilement ! Je me rendais pas compte que cette petite séance pourtant très professionnelle mavait autant excitée, ouvrant la porte à toutes les pénétrations
Pas dhuile nécessaire dans les rouages
Monsieur semble aussi très excité. Je sens la solidité de son érection qui me laboure les parois
Et jentends rapidement à sa respiration que la giclée ne va pas tarder
Et cest fait
Pas eu le temps de jouir moi
Et il se retire. Va chercher une serviette
pour la bouche ! Et sessuie
le zob ! Il se rhabille sans un regard pour moi, qui reste pantelante appuyée au mur, et avant que jaie eu le temps de reprendre mes esprits
il me dit au revoir
Me voilà seule dans mon cabinet, la culotte sur les godasses, les cuisses ruisselantes, et avec au passif, une consultation gratuite
parce quil ne ma pas payé ce con
Jaurais joui
jaurais encore dit, mais bon, pas eu le temps davoir mon orgasme !
Pas dorgasme
Mais du plaisir, ça oui ! Quest-ce que cétait gai cette petite demi-heure
Quest-ce quelle me plaît lattitude de cet homme ! Quest-ce quil me plaît son corps nu. Quest-ce quelles me plaisent ses fesses ! Quest-ce quil me plaît son zob ! Quest-ce que jai aimé être quasi violée par lui ! Parce que cest un viol quand même
Il ma pas demandé mon avis
Non, cétait pas un viol
Il a dû voir dans mes yeux, dès son entrée dans le cabinet aujourdhui
ou même peut-être déjà la fois passée, que jétais, et que je serais consentante !
Et cest le jour du dernier rendez-vous. Il rentre calmement dans mon cabinet. Je ne lui dis rien, ne lui demande rien, mais il se fout à poil sans un mot
La bite dressée, il se dirige vers moi
me couche sur le bureau écarte mon tablier blanc, soulève ma jupe, arrache ma culotte, et me pénètre sans difficulté
Mon petit con nattendait que ça ! Et cette fois, ça dure
Je sens les ondes de plaisir menvahir
il est tendre, méthodique
Ses mains malaxent mes seins au travers de mon chemisier. Ça ne lui plaît pas ce tissu
Les boutons sautent, ses paluches glissent sous les bonnets et me titillent les tétons
Pourquoi, alors quelles ne font pas ça de façon différente aux autres mains, pourquoi me tétons réagissent-ils si fort, pourquoi communiquent-ils avec autant de force leur propre excitation à lensemble de mon corps
Je me sens partir, je ne sais plus très bien qui je suis, où je suis
Je sens et entend vaguement quil jouit
quil saffale sur moi
Je comprends pas
Quest-ce qui sest passé ?
Il sessuie le tich, va prendre sa place dans le fauteuil, et attend mon arrivée près de lui
Jai les jambes qui flageolent
Jarriverai pas à faire mon boulot aujourdhui
Je le lui dis
Le rend coupable de ma situation
Un sourire
Il glisse sa main sous ma tenue débraillée et me flatte doucement les fesses
- Mais si, ça va aller
me rassure-t-il.
Impossible de refermer mon chemisier qui na plus que deux boutons
jenvoie valdinguer ma culotte qui sattachait à un seul de mes pieds
Et je me mets au travail, les nichons à lair et le cul quasi nu
Très classe, il me paie mes deux consultations, la précédente et celle-ci
- Une visite de contrôle lannée prochaine ? me glisse-t-il en guise dau revoir
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